A l’institut Saint-Joseph d’Ebersmunster.

André Wenger orne le mur de l’ancien cloître d’une grande fresque peinte. « A travers cette vision d’antan, avec mes petits personnages naîfs et leur bonnes bouilles, j’ai voulu apporter dans ce lieu vénérable, un peu austère, comme une explosion de joie, de bonheur, de fraternité à laquelle la silhouette de l’abbaye, au loin, et le calvaire près duquel passent mes joyeux lutin ajoutent une note d’émotion mystique » a-t-il expliqué lors de l’inauguration en septembre 1989.