André Wenger a réalisé les décors de 1970 à 1988. Il y en avait environ quatorze par revue.

https://www.musees.strasbourg.eu/

Don de cette planche originale au musée Tomi Ungerer à Strasbourg.

LE BARABLI

Un cabaret ? Pas seulement. Un théâtre ? Davantage. Pierre Pflimlin, naturellement avare en superlatifs, le dit très bien : « Le Barabli a opéré une véritable libération. Il osait dire avec quelle verve !, ce que les Alsaciens osaient à peine s’avouer à eux-mêmes ».
Roland Recht, qui connaît lui aussi le poids des mots, regarde dans la même direction :
« Véritable phénomène de société, le cabaret de Germain Muller a su transformer la critique sociale, la satire et le pamphlet en institution (…). Il a contribué d’une manière décisive à libérer l’Alsa­cien de ses complexes ».


André Wenger a rallié l’équipe. Avec son épouse Anne, et bien d’autres.

Croqueur de vie / Peintre / Illustrateur / Éditorialiste / Humoriste

Ci-dessus : un décor, magnifique cathédrale.

 

Ci-dessous : croquis de Germain

Quelques-unes des affiches et couvertures de programmes réalisées entre 1970 et 1988.

Sur scène et en coulisse !

Quelques images d’une époque (de 1970 à 1988). Il serait difficile de représenter tous ceux qui ont fait le Barabli.

Merci à tous

Le Barabli
outil d’une vraie libération régionale

Tous, ou presque, se (re)trouvent et s’expriment dans 42 Johr « Barabli’ » histoire d’un cabaret alsacien publié par les Musées de la ville de Strasbourg et les Editions Oberlin (en 1988).

Wenger et le Barabli ? Dix-huit ans de collaboration. Décors, couvertures des programmes, affiches… A trois semaines avant la première, expliquait Wenger, Germain me demandait un certain type de décors. Je faisais plusieurs projets. C’est lui qui choisissait. Il avait des idées très précises. Son spectacle, il le voyait dans sa tête.

 

Dessin de l’affiche S’isch nonit alles fütti ( 1986)

Affiches – Strasbourg à 2000 ans.

 » L’ART EST LONG ET LE TEMPS EST COURT  » Charles Baudelaire